Hans  : Appelez-moi donc Hans…

19h00 – Dans le bureau de Hans VAN HELSEN, la plupart des employés avaient fini.

Naru  : Vous m’excuserez M. VAN HELSEN, de l’heure tardive à laquelle j’arrive, mais il fallait faire avec, je finissais à 18h

Hans  : Appelez-moi donc Hans… Ce n’est pas grave, nous serons plus tranquille et pourrons discuter sans être dérangée par cette idiote d’assistante, Suzanne… […] Ils discutèrent de tout et de rien. Puis…

Hans  : Vous m’avez l’air d'avoir un fort potentiel. J’aime çà… J’ai une offre à vous faire.

Naru  : Que me proposez-vous ?

Hans  : ce que vous voulez… Je vous donne l’opportunité de faire carrière dans un groupe qui ne cesse de croître et qui risque fort bien d’écraser ces crétins de CARLSON… En terme de prétention salariale…

Naru directe : 35 k§simoléons fixe ! Plus, bien évidemment une part variable qui sera fonction de mes performances…

Hans  : Mmmmh, je vois que vous visez haut… Flexible ? Non bien sûr… 32k§… et primes naturellement.

Naru  : 34 k§… Flexible, je suis, que lorsque c’est nécessaire (un éclair de défi brilla dans ses yeux)

Hans  : Très bien, écoutez… je vous dis 33k§, ce qui est une rémunération fort honorable pour votre niveau d’expérience. Je vous demanderai de me donner votre réponse d’ici le 16 août, dernier carat. Sans réponse de votre part, je me verrais obligé de décliner cette offre. A vous de voir.

Naru rentra chez elle vers 20h , où elle trouva un appartement vide :

Naru  : « Tiens elle n’est pas là cette nunuche d’Imane. Je suis tranquille… Veillons au grain : je vais appeler Hugh, il faut que j’assure mes arrières… »

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